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Comment on enseigne la bourse autrement

Depuis maintenant huit ans qu'on accompagne des investisseurs débutants, on a compris une chose. Les méthodes d'enseignement traditionnelles ne fonctionnent pas vraiment pour la finance personnelle. Trop de théorie, pas assez de pratique concrète.

C'est pour ça qu'on a développé notre propre approche. Elle mixe des concepts solides avec des situations réelles du marché canadien. Parce qu'apprendre les bases de l'investissement, c'est bien — mais savoir comment réagir quand le TSX chute de 3% en une journée, c'est mieux.

Nos sessions démarrent en février 2026. Et on a vraiment pensé chaque détail pour que ça colle avec la réalité des investisseurs québécois.

Environnement d'apprentissage pratique pour l'analyse des marchés boursiers

L'apprentissage par situations vécues

On utilise des cas réels tirés des dernières années. Genre cette période en novembre 2025 où plusieurs actions de l'énergie ont explosé. Ou celle de mars 2024 quand les banques canadiennes ont corrigé brutalement.

Chaque étudiant travaille sur ces scénarios comme s'il les vivait en direct. Avec les mêmes données qu'un investisseur aurait eues à ce moment-là. Pas de réponse parfaite donnée d'avance.

L'idée, c'est d'apprendre à prendre des décisions avec l'information disponible. Et surtout, comprendre pourquoi certains choix mènent à des résultats différents. C'est moins glamour qu'une formule magique, mais tellement plus utile quand on gère son propre argent.

« Les erreurs qu'on fait en simulation nous évitent d'en faire de vraies avec notre argent. »

Trois piliers pour construire sa confiance

On structure nos formations autour de compétences précises qu'on développe progressivement. Pas de rush, pas de pression artificielle.

Analyser sans paniquer

On commence par décortiquer des rapports financiers simplifiés. Puis on monte graduellement vers des analyses plus complexes. L'objectif : savoir lire les chiffres qui comptent vraiment.

En mars 2026, nos participants vont travailler sur des bilans d'entreprises québécoises qu'ils connaissent déjà. Ça rend les concepts beaucoup plus tangibles.

Gérer ses émotions

C'est probablement la partie la plus négligée ailleurs. Pourtant, c'est souvent l'émotion qui fait perdre de l'argent, pas le manque de connaissance.

On simule des situations stressantes — baisses soudaines, opportunités qui semblent urgentes. Et on apprend à prendre du recul avant d'agir. Ça paraît simple dit comme ça, mais c'est un muscle qu'on doit entraîner.

Bâtir une stratégie personnelle

Il n'existe pas de méthode universelle qui marche pour tout le monde. Un jeune professionnel de 28 ans n'a pas les mêmes besoins qu'un travailleur autonome de 45 ans.

On aide chacun à développer son propre cadre de décision. Basé sur sa tolérance au risque réelle, pas celle qu'un questionnaire générique lui attribue.

Séance d'analyse collaborative des tendances du marché boursier canadien

Ce qu'en disent ceux qui l'ont vécu

Trois parcours différents, trois perspectives sur notre méthode d'enseignement.

Portrait de Luc Bergeron

Luc Bergeron

Ingénieur logiciel, Sherbrooke

J'avais lu trois bouquets sur l'investissement avant de m'inscrire. Mais c'est vraiment quand on m'a fait analyser une vraie chute de marché que j'ai compris comment appliquer tout ça. Les exercices sur les situations d'octobre 2025 m'ont appris plus en deux semaines que six mois de lecture.

Portrait de Camille Deschamps

Camille Deschamps

Gestionnaire de projets, Québec

Ce qui m'a surprise, c'est l'accent mis sur la gestion émotionnelle. Personne n'en parle habituellement. Pourtant, c'est exactement ce dont j'avais besoin. Maintenant, je peux regarder mon portefeuille baisser de 2% sans avoir envie de tout vendre dans la panique.

Portrait de Marc Thibault

Marc Thibault

Travailleur autonome, Trois-Rivières

J'appréciais surtout qu'on ne nous dise pas quoi acheter. On apprend plutôt à réfléchir par nous-mêmes. Les cas pratiques sur des entreprises québécoises m'ont aidé à développer mon propre système d'analyse. C'est pas parfait, mais c'est le mien.